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Cmoi, L'actualité commentée sans complaisance

Commentaires et points de vue sur l'actualité politique, économique, sportive, sociale, culturelle, culinaire. Un espace de débat.

Remaniement ministériel - Jean Castex se prive de Ségolène Royal !

Ils sont nommés....le voile est levé.....mais où est Ségolène ?

Ils sont nommés....le voile est levé.....mais où est Ségolène ?

L'équipe des Ministres de Jean Castex enfin dévoilée.

Si on s'attendait à certains départs (Castaner, Ndiaye Guillaume, Belloubet) force est de constater que peu de chroniqueurs politique avaient prédit les nominations de Roselyne Bachelot à la culture et d'Eric Dupont-Moretti à la justice (Garde des Sceaux). Le maintien de Jean-Michel Blanquer à l'éducation avec un ministère élargit aux sports est également une demi-surprise, car Blanquer n'a pas obtenu la confiance des syndicats d'enseignements, mais s'est bien débrouillé avec ceux des parents d'élèves.

La nomination de Roselyne Bachelot, 73 ans, est-elle un signe pour fixer la date de départ en retraite dans le projet tant voulu par le Président Macron, projet que le Premier Ministre devra faire accepter aux syndicats (patrons et salariés).

Le maintien de Bruno Le Maire avec un ministère élargi à "la relance" permettra de finaliser les actions en cours. 

Le passage de Darmanin au ministère de l'intérieur, prouve s'il en est que celui-ci n'a pas démérité et qu'il présente un profil d'homme à poigne, respectueux des forces de l'ordre et de l'ordre établi.

Pour les autres ministres et pour les futurs nommés aux différents postes de "Secrétaire d'Etat", il sera nécessaire de faire des actions spectaculaires pour être entendus, car les médias resteront braqués sur le Premier Ministre, sur le Ministre de l'intérieur, celui des Finances, celui de la santé et celle de la culture. Avec parcimonie, celui du travail (mais c'est pas le moment), celui de l'agriculture (aux prochaines manifs) ou celui des relations avec l'Europe (au prochain accord de libre-échange). Le ministère dont on attend beaucoup mais qui restera (peut-être) le faire-valoir de la volonté écologique du Président, est bien sûr celui de la transition écologique, aux mains de Barbara Pompili. Certes Barabra Pompili maîtrise son sujet, mais elle ne maîtrisera pas les limites voulues par le Président et par Bercy. Espérons que cette fois-ci, la parole Présidentielle sera suivie des effets voulus.

Ce gouvernement d'action, devra très rapidement répondre aux souhaits du Président de la République et aux attentes de la population. Il en va de la réélection d'Emmanuel Macron en 2022.

Au vu des personnalités nommées, une chose est sûre, ce n'est n'est pas l'union des gauches, mais un bon gouvernement de centre-droit avec quelques personnalités plutôt positionnées plus à gauche et plus à droite.

Par contre, comment Jean Castex a-t-il pu se priver des talents, de la compétence, de la fidélité politique, de cette ancienne ministre, ancienne candidate à l'élection présidentielle, ancienne compagne d'un Président de la République, ancienne présidente de la région Poitou-Charente, ancienne ambassadrice des "Pôles", j'ai nommé "Ségolène Royal"?

Pourtant, avec tout le mal que celle-ci s'est donnée pour attirer l'attention sur elle et sur son égo surdimensionné, c'est dommage que la France se prive d'un tel fardeau.

Au niveau de sa présidence de la région Poitou-Charente : 

Impayés massifs, dérapage des frais de fonctionnement et de la dette, recours abusif aux emprunts toxiques… Ségolène Royal laisse une lourde ardoise à l’ex-région.

Au niveau de son poste de ministre : l'abandon de l'écotaxe et des portiques qui allaient avec ont coûtés sur plusieurs années, en cumulé, plus de 10 milliards d'euros à l'Etat. Sans compter quelques ratés avec les sociétés d'autoroutes.

Au niveau de son action d'ambassadrice des pôles :  Ayant trop souvent critiqué le gouvernement qui l'avait installée à ce poste, Ségolène Royal a été limogée. Fidèle à son image de femme rancunière et revêche, Ségolène Royal, le 23 janvier, a lâché sur Twitter : « Je prends acte de mon limogeage car je choisis ma liberté de parole. Par contre, ce n'est pas la consommation carbone de son action pour les pôles, qui va conduire à la fonte de la banquise.

Si Jean Castex peut se passer pendant cette période difficile, d'une femme comme Ségolène Royal, alors la France, l'Europe, le Monde peut s'en passer. Mais encore faudra-t-il que quelqu'un lui fasse comprendre, qu'à part sa famille, plus personne ne compte sur elle. On a déjà donné!!!!!

Une solution peut-être pour Ségolène Royal : trouver un point de chute comme Manuel Valls.

 

Crédit photo : LP/Olivier Corsan

 

L'équipe de Ministres de Jean Castex enfin dévoilée.

Si on s'attendait à certains départs (Castaner, Ndiaye Guillaume, Belloubet) force est de constater que peu de chroniqueurs politique avaient prédit les nominations de Roselyne Bachelot à la culture et d'Eric Dupont-Moretti à la justice (Garde des Sceaux). Le maintien de Jean-Michel Blanquer à l'éducation avec un ministère élargit aux sports est également une demi-surprise, car Blanquer n'a pas obtenu la confiance des syndicats d'enseignements, mais s'est bien débrouillé avec ceux des parents d'élèves.

La nomination de Roselyne Bachelot, 73 ans, est-elle un signe pour fixer la date de départ en retraite dans le projet tant voulu par le Président Macron, projet que le Premier Ministre devra faire accepter aux syndicats (patrons et salariés).

Le maintien de Bruno Le Maire avec un ministère élargi à "la relance" permettra de finaliser les actions en cours. 

Le passage de Darmanin au ministère de l'intérieur, prouve s'il en est que celui-ci n'a pas démérité et qu'il présente un profil d'homme à poigne, respectueux des forces de l'ordre et de l'ordre établi.

Pour les autres ministres et pour les futurs nommés aux différents postes de "Secrétaire d'Etat", il sera nécessaire de faire des actions spectaculaires pour être entendus, car les médias resteront braqués sur le Premier Ministre, sur le Ministre de l'intérieur, celui des Finances, celui de la santé et celle de la culture. Avec parcimonie, celui du travail (mais c'est pas le moment), celui de l'agriculture (aux prochaines manifs) ou celui des relations avec l'Europe (au prochain accord de libre-échange). Le ministère dont on attend beaucoup mais qui restera (peut-être) le faire-valoir de la volonté écologique du Président, est bien sûr celui de la transition écologique, aux mains de Barbara Pompili. Certes Barabra Pompili maîtrise son sujet, mais elle ne maîtrisera pas les limites voulues par le Président et par Bercy. Espérons que cette fois-ci, la parole Présidentielle sera suivie des effets voulus.

Ce gouvernement d'action, devra très rapidement répondre aux souhaits du Président de la République et aux attentes de la population. Il en va de la réélection d'Emmanuel Macron en 2022.

Au vu des personnalités nommées, une chose est sûre, ce n'est n'est pas l'union des gauches, mais un bon gouvernement de centre-droit avec quelques personnalités plutôt positionnées plus à gauche et plus à droite.

Par contre, comment Jean Castex a-t-il pu se priver des talents, de la compétence, de la fidélité politique, de cette ancienne ministre, ancienne candidate à l'élection présidentielle, ancienne compagne d'un Président de la République, ancienne présidente de la région Poitou-Charente, ancienne ambassadrice des "Pôles", j'ai nommé "Ségolène Royal"?

Pourtant, avec tout le mal que celle-ci s'est donnée pour attirer l'attention sur elle et sur son égo surdimensionné, c'est dommage que la France se prive d'un tel fardeau.

Au niveau de sa présidence de la région Poitou-Charente : 

Impayés massifs, dérapage des frais de fonctionnement et de la dette, recours abusif aux emprunts toxiques… Ségolène Royal laisse une lourde ardoise à l’ex-région.

Au niveau de son poste de ministre : l'abandon de l'écotaxe et des portiques qui allaient avec ont coûtés sur plusieurs années, en cumulé, plus de 10 milliards d'euros à l'Etat. Sans compter quelques ratés avec les sociétés d'autoroutes.

Au niveau de son action d'ambassadrice des pôles :  Ayant trop souvent critiqué le gouvernement qui l'avait installée à ce poste, Ségolène Royal a été limogée. Fidèle à son image de femme rancunière et revêche, Ségolène Royal, le 23 janvier, a lâché sur Twitter : « Je prends acte de mon limogeage car je choisis ma liberté de parole. Par contre, ce n'est pas la consommation carbone de son action pour les pôles, qui va conduire à la fonte de la banquise.

Si Jean Castex peut se passer pendant cette période difficile, d'une femme comme Ségolène Royal, alors la France, l'Europe, le Monde peut s'en passer. Mais encore faudra-t-il que quelqu'un lui fasse comprendre, qu'à part sa famille, plus personne ne compte sur elle. On a déjà donné!!!!!

Une solution peut-être pour Ségolène Royal : trouver un point de chute comme Manuel Valls.

 

Crédit photo : LP/Olivier Corsan

 

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